lunes, 21 de abril de 2008

Un autre Tibet es possible, mais pas dehors de Chine



















Malgré le dramatisme de la situation tibètaine, les troisièmes voies qui ont échouées en Chine pendant les années 50, aujourd’hui ont plus des possibilités. La politique des nationalités dans la Chine actuelle est un talon d’Achille à résoudre. La crise tibétaine de ce moment, est la plus grave dans les vingt dernières années.

En même temps, la Chine est un pays qui a appris de ses erreurs et qui a démontré une capacité de rectification et reforme sans une autre comparaison dans le monde entière, une société qui change jusqu’à l’inconnu.

Mais, ¿on peut attendre une autre politique sur les nationalités et une autre Tibet ? Peut-être oui, a mon avis, il est nécessaire le dynamisme des mouvements sociaux qui poussent ces changements. Mais difficilement on peut penser dans un Tibet dehors de la Chine. Cette appartenance du Tibet à la Chine n’a pas une autre alternative.

Les chinois toujours ont défendu une politique impitoyable contre tous les ethnies minoritaires qui habitent de longtemps dans ce pays. Ils toujours ont pensé que sa mission était civiliser le reste des peuples qui habitent dans l’empire chinoise. Ceux qui résistent, ou devaient s’enfuir ou autrement être assimilés pour la ethnie majoritaire, la Han. L’alternative des minorités était perdre la vie ou perdre son âme, au moment d’accepter la civilisation supérieure.

D’autre coté, l’effort pour moderniser le Tibet qui a fait l’état chinois, (inversions, amélioration des infrastructures, etc.) est plus grande que dans d’autres provinces chinoises. Mais la douleur qu’a supposée cette modernisation a été plus grande en Tibet, en Xinjiang et d’autres zones des minorités de la Chine.

Dans le Tibet toute l’entreprise de modernisation a été amenée par des étrangers qui ont détruis la culture tibétaine très liée au bouddhisme. Le progrès de Tibet profite aux colons chinois qui peuplent en majorité les grandes villes du Tibet, surtout Lhassa, le chef-lieu de la région. Ces nouveaux colons viennent d’autres provinces pauvres pour travailler dans toute l’infrastructure qui surgit á Tibet.

D’une parte, dans cette situation, l’impression qu’ont les propres tibétains n’est pas d’accord avec ce qui pensent les autorités chinois. C'est-à-dire, cette modernisation n’est pas contrôlée par eux et même temps les transforme en citoyens de deuxième classe dans son propre pays.

D’autre, les autorités chinois on la conviction de que la modernisation de la région finira avec « la maladie tibétaine », avec cette type de mentalité attardée. Après la disparition du Dalai Lama actuel, Beijing aura l’occasion de nommer son successeur à sa mesure.

Il faut dire aussi, que le Tibet c’est un sujet interdit en Chine et très politisé en Occident. En Chine l’histoire officielle de la région est pleine de falsifications et de beaucoup d’omissions. La Chine et le Tibet ont une histoire commune de 1500 ans, mais surtout à partir du XVIIIème siècle qu’ils ont eu des relations formelles à cause de la guerre de frontière du Tibet avec le Népal. Ils demandent l’aide à la Chine pour se défendre contre l’armée népalais.

Quand est arrivé l’invasion communiste en 1950, le Tibet était un était indépendant. A ce moment-la les tibétains étaient divisées en deux groupes : d’un coté ceux qui habitaient dans le Tibet politique (U Tsang), gouverné par le Dalai Lama en Lhassa. Et d’autre coté, le Tibet ethnographique : Kham( Sichuan et Yunnan) et Amdo( Qinghai et Gansu) composé par ceux qui habitaient dans l’est et le nord-est du Tibet Central.

Le Tibet de la première moitie du XXème siècle était un état isolé et inconsistante. Tout le Tibet ethnographique était divisé en petits principaux sous l’autorité de Chine. Le Tibet était resté isolé et fermé face à la nouvelle société qui s’approchait avec la révolution communiste des années 50.

En octobre 1951, le gouvernement tibétain accepte l’incorporation à la Chine après avoir signer un accord de 17 points avec Beijing. Pour la première fois dans l’histoire par cet accord le gouvernement tibétain reconnaît la souveraineté chinoise sur le Tibet.

Les problèmes apparaissent au moment que les chinois commencent à faire des reformes en Kham. La première mesure a été la confiscation des armes et d’autre coté obliger á la population nomade changer son moyen de vie, c’est á dire, vivre dans les villages. Ils doivent accepter la collectivisation comme forme de vie.

Vers l’année 1954, une floue de population nomade arrive à Lhassa avec ses armes et une grande haine vers la Chine. Dans tous ce temps jusqu’à 1958 les tibétains organise une petite armée pour faire une révolte contre le pouvoir chinois. Mais toutes ces actions ont échoué et le Dalai Lama en 1959 doit abandonner le Tibet à travers les grandes montagnes vers le Népal. D’après des documents officiels déclassés des États-Unis, la Cia a maintenu jusqu’à les années 70 le mouvement tibétain en exile.

Toute cette histoire a eu beaucoup de répercussion sur la Chine, et surtout par la politique amenée par les américains contre la politique communiste (Radio Free Asia et Voix de l’Amérique, etc.).

La politique des nationalités c’est le talon d’Achille de Chine. Un problème qui sera résolu au temps qui se développe la société chinoise. La Chine c’est un de pays que plus a avancé dans la deuxième partie de vingtième siècle. Tous les indicateurs même politiques, sociaux comme économiques, souvient que la société chinoise avance plus rapide que sa classe politique.
Dans ce conflit, la Chine demande du Tibet son reconnaissance d’appartient à la Chine et son renonce à l’idée du « Grand Tibet », à sa totale indépendance. D’autre coté, la Chine devra planifier l’autonomie demande par le Tibet.

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